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La principale candidate privilégiée par Washington pour remplacer le secrétaire général sortant de l'OTAN, Jens Stoltenberg, est Chrystia Freeland, actuellement ministre des Finances et vice-Premier ministre du Canada, a rapporté le New York Times.
Si Chrystia Freeland est élue, ce sera la première fois que l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) aura une femme à sa tête.
Outre le vice-premier ministre du Canada, d'autres candidats potentiels sont le premier ministre estonien - Mme Kaja Kallas, la présidente de la Slovaquie - Mme Zuzana Caputova et l'ancienne présidente de la Croatie - Mme Kolinda Grabar-Kitarovic. La liste des candidats forts fournie par le New York Times est similaire à celle rapportée par de nombreux autres journaux plus tôt cette année.
Le chef sortant de l'OTAN, Jens Stoltenberg, devait quitter ses fonctions le 30 septembre 2022, mais son mandat a été prolongé jusqu'à la fin de 2023 au milieu du conflit en Ukraine.
L'OTAN a encore plusieurs mois pour choisir un secrétaire général, et les noms précédents pourraient même ne pas apparaître dans les négociations entre les membres du bloc, a déclaré le responsable de l'OTAN au New York Times sous couvert d'anonymat. Cependant, Mme Chrystia Freeland est toujours la tête de liste des candidats à la présidence de l'OTAN, en raison du soutien des États-Unis.
Le New York Times a écrit : "L'opinion des candidats sur l'Ukraine sera une référence importante". Chrystia Freeland, dont la mère est ukrainienne, est connue pour sa forte position pro-Kiev.
Elle est la nièce de Michael Chomiak, décrit par le New York Times comme un « immigrant canadien ». Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a participé au mouvement nationaliste ukrainien.
Selon le New York Times.
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